Taxes Applicables sur les Services des Institutions de Paiements Electronique en Nouvelle-Zélande ?

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Taxes Applicables sur les Services des Institutions de Paiements Electronique en Nouvelle-Zélande

Taxes Applicables sur les Services des Institutions de Paiements Electronique en Nouvelle-Zélande

Introduction

Les institutions de paiements électroniques jouent un rôle essentiel dans l’économie moderne, facilitant les transactions financières et offrant des services de paiement pratiques aux consommateurs. En Nouvelle-Zélande, ces institutions sont soumises à certaines taxes et réglementations pour assurer la transparence et la stabilité du système financier. Cet article examine les taxes applicables sur les services des institutions de paiements électroniques en Nouvelle-Zélande, en mettant l’accent sur les principales lois et réglementations en vigueur.

Les taxes sur les services des institutions de paiements électroniques

En Nouvelle-Zélande, les institutions de paiements électroniques sont soumises à plusieurs taxes et réglementations. Ces taxes sont principalement liées à la TVA (taxe sur la valeur ajoutée) et aux droits d’accise.

Taxe sur la valeur ajoutée (TVA)

La TVA est une taxe indirecte prélevée sur la valeur ajoutée à chaque étape de la production et de la distribution d’un bien ou d’un service. En Nouvelle-Zélande, la TVA est connue sous le nom de GST (Goods and Services Tax) et est fixée à un taux de 15%. Les institutions de paiements électroniques sont tenues de collecter la GST sur les frais de transaction et les commissions qu’elles facturent aux commerçants et aux consommateurs.

Par exemple, si une institution de paiements électroniques facture des frais de transaction de 100 $ à un commerçant, elle devra collecter une GST de 15 $ sur cette transaction. La GST est ensuite reversée au gouvernement néo-zélandais.

Droits d’accise

Les droits d’accise sont des taxes spécifiques prélevées sur certains biens et services. En Nouvelle-Zélande, les institutions de paiements électroniques ne sont pas soumises à des droits d’accise spécifiques. Cependant, elles peuvent être tenues de payer des droits d’accise sur certains services connexes, tels que la fourniture de services de change de devises étrangères.

Les réglementations applicables aux institutions de paiements électroniques

Outre les taxes, les institutions de paiements électroniques en Nouvelle-Zélande sont également soumises à des réglementations spécifiques pour garantir la sécurité et la protection des consommateurs.

Loi sur les services de paiement

La principale réglementation qui régit les institutions de paiements électroniques en Nouvelle-Zélande est la Loi sur les services de paiement. Cette loi vise à promouvoir la stabilité et l’efficacité du système de paiement en réglementant les fournisseurs de services de paiement.

La Loi sur les services de paiement établit des exigences en matière de licence pour les institutions de paiements électroniques et définit les normes de conduite auxquelles elles doivent se conformer. Elle prévoit également des mécanismes de résolution des litiges entre les institutions de paiements électroniques, les commerçants et les consommateurs.

Loi sur le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme

Les institutions de paiements électroniques sont également soumises à la Loi sur le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme (AML/CFT) en Nouvelle-Zélande. Cette loi vise à prévenir l’utilisation du système financier néo-zélandais à des fins de blanchiment d’argent et de financement du terrorisme.

En vertu de la loi AML/CFT, les institutions de paiements électroniques doivent mettre en place des programmes de conformité pour identifier et signaler les activités suspectes. Elles doivent également effectuer des vérifications d’identité et conserver des enregistrements appropriés pour se conformer aux exigences de lutte contre le blanchiment d’argent.

Exemples de taxes applicables

Pour mieux comprendre les taxes applicables sur les services des institutions de paiements électroniques en Nouvelle-Zélande, examinons quelques exemples concrets :

Exemple 1 : Frais de transaction pour un commerçant

  • Montant des frais de transaction : 500 $
  • Taux de GST : 15%
  • Montant de la GST à collecter : 75 $

Dans cet exemple, l’institution de paiements électroniques devra collecter une GST de 75 $ sur les frais de transaction de 500 $ facturés au commerçant.

Exemple 2 : Commission sur une vente en ligne

  • Montant de la commission : 200 $
  • Taux de GST : 15%
  • Montant de la GST à collecter : 30 $

Dans cet exemple, l’institution de paiements électroniques devra collecter une GST de 30 $ sur la commission de 200 $ perçue sur une vente en ligne.

Conclusion

En conclusion, les institutions de paiements électroniques en Nouvelle-Zélande sont soumises à des taxes et réglementations spécifiques pour assurer la transparence et la stabilité du système financier. La TVA (GST) est la principale taxe applicable, avec un taux de 15% sur les frais de transaction et les commissions. Les institutions de paiements électroniques doivent également se conformer à la Loi sur les services de paiement et à la Loi sur le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme pour garantir la sécurité et la protection des consommateurs.

Il est essentiel pour les institutions de paiements électroniques de comprendre et de respecter ces taxes et réglementations afin de maintenir leur conformité légale et de préserver la confiance des commerçants et des consommateurs. En respectant ces obligations, les institutions de paiements électroniques peuvent continuer à jouer un rôle crucial dans l’économie néo-zélandaise en facilitant les transactions financières et en offrant des services de paiement pratiques.

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